13 novembre 2007
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09:45
Je connais désormais tous mes résultats des examens de mi-semestre, mes premiers examens chinois ! Je suis globalement satisfait, même si à mon niveau, toutes les fautes sont basiques, donc idiotes, donc frustrantes !
Sans surprise, c’est en hanyu que j’ai eu la meilleure note : 95,5 sur 100. C’est la meilleure note de ma classe, donc je suis assez fier de mon résultat. Comme toujours en langue, je suis meilleur à l’écrit qu’à l’oral. C’est particulièrement le cas en Chinois, où ma bonne mémoire visuelle me permet d’assimiler les caractères plus rapidement que d’autres. A l’inverse, ma mémoire auditive est tellement médiocre que je suis parfois incapable de prononcer des caractères que je reconnais. Pourtant, c’est en général le contraire qui se produit dans l’apprentissage du Chinois : hormis les Japonais qui utilisent déjà un certain nombre de caractères dans leur langue, les autres étudiants étrangers parlent mieux qu’ils n’écrivent, et ont des difficultés à retenir les caractères, alors même qu’ils les révisent parfois plus de temps que moi.
Je suis donc meilleur à l’écrit qu’à l’oral, mais je ne me suis pas trop mal sorti du kouyu, avec une note de 88 sur 100. Après des exercices de lecture et de grammaire, je devais présenter la façon dont les Français (et plus généralement les Occidentaux) fêtent Noël, événement encore très peu présent en Chine. Parmi les quatre sujets possibles, c’était le plus dur, car nous avions travaillé sur le trafic pékinois en classe, et nous avons un vocabulaire suffisant pour raconter une expérience malchanceuse ou un voyage marquant. Alors que pour Shengdanjie (Noël), il a fallu quelques recherches de vocabulaire spécifique. Mais je m’en suis bien tiré.
Sans surprise là non plus, le tingli était l’épreuve la plus dure. Il est donc normal que j’ai une note inférieure (67,5 sur 100), même si j’ai quelques regrets compte tenu des circonstances. Tout d’abord, notre classe n’a eu droit qu’à une seule écoute de la cassette, contrairement à deux autres groupes qui ont eu deux fois certains passages. Cela explique que notre classe ait les moins bons résultats dans cette matière. Néanmoins, il semble que l'administration ait décidé de nous rajouter une dizaine de points à tous en compensation, ce qui me fait passer à 79 sur 100 ! Initialement, Il n’y avait qu’une note au-dessus de 80, et je dois être le cinquième du groupe environ. J’aurais pu être troisième, mais en reportant les réponses de mon brouillon sur la feuille d’examen… j’ai inversé certains résultats ! J’ai donc perdu de quatre à six points le plus bêtement du monde ! Une note au-dessus de 80 m’aurait plus satisfait, bien entendu, mais au moins, je sais que je peux y arriver pour le vrai partiel.
Ces vrais examens finaux auront lieu début janvier. Cela va me laisser le temps de progresser !
Sans surprise, c’est en hanyu que j’ai eu la meilleure note : 95,5 sur 100. C’est la meilleure note de ma classe, donc je suis assez fier de mon résultat. Comme toujours en langue, je suis meilleur à l’écrit qu’à l’oral. C’est particulièrement le cas en Chinois, où ma bonne mémoire visuelle me permet d’assimiler les caractères plus rapidement que d’autres. A l’inverse, ma mémoire auditive est tellement médiocre que je suis parfois incapable de prononcer des caractères que je reconnais. Pourtant, c’est en général le contraire qui se produit dans l’apprentissage du Chinois : hormis les Japonais qui utilisent déjà un certain nombre de caractères dans leur langue, les autres étudiants étrangers parlent mieux qu’ils n’écrivent, et ont des difficultés à retenir les caractères, alors même qu’ils les révisent parfois plus de temps que moi.
Je suis donc meilleur à l’écrit qu’à l’oral, mais je ne me suis pas trop mal sorti du kouyu, avec une note de 88 sur 100. Après des exercices de lecture et de grammaire, je devais présenter la façon dont les Français (et plus généralement les Occidentaux) fêtent Noël, événement encore très peu présent en Chine. Parmi les quatre sujets possibles, c’était le plus dur, car nous avions travaillé sur le trafic pékinois en classe, et nous avons un vocabulaire suffisant pour raconter une expérience malchanceuse ou un voyage marquant. Alors que pour Shengdanjie (Noël), il a fallu quelques recherches de vocabulaire spécifique. Mais je m’en suis bien tiré.
Sans surprise là non plus, le tingli était l’épreuve la plus dure. Il est donc normal que j’ai une note inférieure (67,5 sur 100), même si j’ai quelques regrets compte tenu des circonstances. Tout d’abord, notre classe n’a eu droit qu’à une seule écoute de la cassette, contrairement à deux autres groupes qui ont eu deux fois certains passages. Cela explique que notre classe ait les moins bons résultats dans cette matière. Néanmoins, il semble que l'administration ait décidé de nous rajouter une dizaine de points à tous en compensation, ce qui me fait passer à 79 sur 100 ! Initialement, Il n’y avait qu’une note au-dessus de 80, et je dois être le cinquième du groupe environ. J’aurais pu être troisième, mais en reportant les réponses de mon brouillon sur la feuille d’examen… j’ai inversé certains résultats ! J’ai donc perdu de quatre à six points le plus bêtement du monde ! Une note au-dessus de 80 m’aurait plus satisfait, bien entendu, mais au moins, je sais que je peux y arriver pour le vrai partiel.
Ces vrais examens finaux auront lieu début janvier. Cela va me laisser le temps de progresser !